Journal de Rondin [10] We are ONE... face à face avec Neptunon

Journal de bord de Rondin
1er jour – Retour à Ogrimar
Lundi 29 nov

Violente altercation avec Frapmou au conseil Maelstromien.
A la sortie de la citadelle de Glace Maelstrom a vécu un évènement des plus poignant et… perturbant. Frapmou ivre de rage a fait irruption dans notre salle du conseil et s’en est pris à un de ses plus proches compagnons d’armes, Khorgal, de retour d’un lourd combat contre Arthas. Cairn est mort. Assassiné par Garrosh. Des accusations lourdes envers la faction orc des Maesltroms… c’est dans le chaos le plus total que s’est ainsi terminé notre conseil de guilde. Chacun partant dans une direction différente. Prions Thrall que notre unité de guilde ne vole pas en éclat en ces temps sombres…




Retour a Ogrimmar.
Khorgal et moi avons décidé de retourner à Ogrimmar. En l’absence de Thrall et suite au seisme en Kalimdor, Garrosh a pris l’intendance de la horde en main et la loi martiale est déclarée. Nous sommes à nouveau mobilisés, en tant qu’officiers Durotien. Asdepik nous accompagne pour représenter l’alliance troll. Les liaisons magiques avec Kalimdor sont inutilisables, on a déjà perdu des Grunt dans l’espace arcanique instable. Nous traversons ainsi le Norfendre pour la dernière fois après plusieurs années de mobilisation contre Arthas pour rejoindre notre patrie par le zepelin Gobelin. Un voyage long et périlleux (surtout à cause de l’adjectif du mot « technologie gobeline »).

La cité orc.
… est méconnaissable. On sent déjà que la formidable rigueur orc est à l’œuvre pour reconstruire la cité, mais cela ne rend que plus impressionnant les dégâts du glissement de terrain. Asdepik semble abasourdi également, mais par respect (et parce que son sens de l’orientation est par trop déficient) il ne fera pas de commentaires. A peine débarqué nous allons présenter nos respects au plus valeureux des guerriers fury orc : Garrosh, notre chef. Nous nous entretenons avec Fkai un tauren en visite diplomatique, peu laconique sur la situation aux Pitons du tonnerre. Asdepik retourne dans les îles troll pour témoigner de la situation en Durotar.
Garrosh ne nous donne aucune nouvelles de Thrall. Les dernières que j’ai eu venaient de Barbuk qui partait en Nagrand à ses cotés. Khorgal en sait plus mais je pense que sans certitude il ne parlera pas, et je suis un orc : la curiosité n’est pas mon fort. Garrosh est un orc, un vrai. Son discours est direct et violent, il parle à notre sang orc. Mais Khorgal et moi sommes des vétérans. Nous avons connus les boucheries en Outreterre, la corruption du sang orc dans les salles brisées, la rigueur du Norfendre où trop de jeunes recrues investis par une folie berserker ont finalement péris sans gloire dans une mort anonyme. J’ai appris aux cotés de Thrall que, les orcs seuls, nous sommes peu… et alors que Garrosh nous adjoint de quitter la guilde des Maesltroms pour prendre nos quartiers en tant que capitaines des fortins en Alterac, et nous consacrer à nos frère orcs, je ne peux me résoudre à cette promotion. Aucun mot sur Cairn.

Une dure décision.
Les propos de Garrosh nous ont plongés dans le doute. Khorgal soutient qu’un seul chef c’est une force pour la horde, mais en réalité il est durement affecté par la réaction de Frapmou. Je suis officier chez les Maelstroms et je veux poursuivre l’œuvre de Thrall et le rapprochement des races, si différentes soient elles. D’un regard notre détermination commune est scellée. Nous ne pouvons suivre comme des Grunts, il nous faut être les yeux et les bras de Thrall dans ce combat. Nous quittons anonymes la caserne de nuit pour rejoindre la route…



Des questions…
Qu’est il advenu de Cairn ? Je ne le croirais pas mort tant que je n’aurais pas vu son corps sans vie. L’ambition de Garrosh l’a-t-elle amené à de sombres décisions ? Nous devons prendre la mesure des changements de ce monde, sur les routes de Kalimdor. Personnellement je dois aussi apprendre ce qu’il est advenu d’un tauren messager, un de mes proches qui faisait la liaison piton-camp Taurajo. Nous partons en pèlerinage guerrier sur la route des Tarides pour retrouver Frapmou aux Pitons et éclaircir toutes ces histoires. L’enquête est ouverte.

Le monde change. Nous aussi.
Les marais ont envahis Durotar Nord. Nous réalisons une plongée dans les falaises noyés pour découvrir les cadavres des lézards tonnerres. Les Tarides sont méconnaissables. Pourtant les factions gardiennes orcs continuent la routine des combats contre les Tranchecrins… Sommes nous si aveugles ? Nous réalisons de notre coté que nos longues années d’enhardissement dans les terres enneigées du Norfendre ont portées leur fruits. D’un lancer de masse j’écrase un Huran à 30m et Khorgal décapite une patrouille sans même transpirer. Le monde change, mais nous sommes prêts, nous sommes plus forts. Nostalgiques nous nous arrêtons devant le poste de garde où Khorgal a grandi, après sa tragique enfance. Nous interrogeons tous les indigènes sur la route, mais nulle information sur Cairn ou Garrosh ne filtre. C’est à la croisée que notre maître forgeron nous fait part du passage de Garrosh dans les plaines il y a quelques semaines seulement. C’est maigre comme informations… et ce silence est inquiétant.

La nuit porte conseil.
Après ces 2 jours de marchent forcée dans les contrées « changées » de Kalimdor nous abandonnons l’idée de monter notre campement dans la plaine. Nous prenons un lit de camp à l’auberge. Et c’est d’un sommeil lourd que nous nous allongeons, pour changer d’une frappe lourde d’Arthas, et je pense à mon poisson rouge resté seul à Ogrimmar…

Journal de bord de Rondin
2nd jour – Dasn les tarides nord
Mardi 30 nov

Prépare la guerre avec de l'or.
Levée à l’aurore à la croisée. Autour d’un feu de camp, le repas frugal des exilés. Khorgal s’inquiète de la logistique… si nos doutes sur les intentions de Garrosh s’avèrent fondés nous auront rapidement besoin de fonds pour lever notre propre armée et équiper les maelstromiens qui devront diriger nos troupes. L’or reste le nerf de la guerre. Khorghal décide donc de partir récupérer l’argent de nos soldes que nous avons placé dans la banque gobeline de Gadgetzan.

Vigilance maelstromienne
En l’attendant la consigne est simple : sans preuves ne pas faire de vagues et se faire discret. J’explore les tarides du Nord : les jeunes recrues continuent d’y chasser, mais on sent que quelquechose se prépare. Je ne peux que m’inquiéter du manque d’implication des hordeux que je croise sur ma route. Interrogés sur Cairn ils me répondent souvent « c kun reroll » ce que je n’arrive malheureusement pas à comprendre. Le dialecte local aurait il évolué ? Il est vrai que nous sommes partis si longtemps. Mais je croise aussi d’autres vétérans de Norfendre qui confirment mes craintes et nous assurent de leur soutien à la guilde des Maesltroms.

La balafre sanglante.
J’ai trouvé la cicatrice qui défigure les tarides… il n’y a pas de mots pour décrire cela. L’équilibre de la zone a lui aussi « glissé » et on entend au loin les bruits des combats frontaliers. Demain j’irai remonter la faille pour en savoir plus. L’alliance est elle en train de saisir l’opportunité de cette frontière physique pour installer des avants postes ? Autant de questions qui ne font qu’allonger notre longue liste d’interrogations. Mais retrouver Frapmou est prioritaire… Maelstrom aura besoin de tous ses guerriers pour affronter l’avenir sombre qui point !

Journal de bord de Rondin
3eme jour – Maesltrom libère le Norfendre
Jeudi 2 decembre

L'appel aux armes
Maelstrom se réunit une toute dernière fois à la citadelle de glace. Ryuk et Yarhulf invoquent par un ignoble et détestable subterfuge arcanique nos corps près de la gigantesque cathédrale de glace et c'est le coeur lourd que nous constatons l'absence de Frapmou... Mais l'inquiétude ne tarde pas à faire place à la joie quand Nihal sonne le départ du raid en personne. Notre chef convainc même Frap de nous rejoindre pour notre dernier combat et c'est un tauren décidé qui franchit la porte du démoniste. Ce soir ce sera les Maelstroms ou Arthas, et nous avons tous le sens du devoir ! Frapmou n'est d'ailleurs plus si atteints dans son moral, le fils de Cairn a visiblement su trouver les mots. Mais l'heure est au combat et non aux discussions et c'est donc avec notre hargne et hardeur habituelle que nous posons nos boucliers sur nos bras lourds.

La consécration.
Ce soir les Maelstroms ont touché du doigt ce que peux peuvent prétendre avoir seulement espéré pouvoir vivre. Arthas tombe sous les coups d'une guilde comme un seul homme, sous les coups de tentatives sans résignation, sous la force morale de tout un groupe. La nouvelle se répand en Norfendre : Maelstrom a mit fin au règne de Arthas. La nouvelle ne tardera pas à arriver aux oreilles de Garrosh, et alors peut être nous permettra t'il de maintenir ce groupe de combat à part, cet idéal de communauté, cet esprit de corps, qui a réussi là ou si nombreux ont échoué. Ce soir peut être avons nous sauvé notre tête et donné un espoir fou à Kalimdor !



Tournons nous vers des jours nouveaux...et sombres.
La tension est retombée à l'auberge et les esprits encore embrumés par les elixirs trolls nous réalisons que notre route ne fait que s'étendre à nouveau sans fin devant nous... Frapmou retourne aux Pitons. Avec Khorgal nous partons le retrouver depuis la croisée pour rassembler les informations qui nous font défaut sur les mouvements de trouppes dans les tarides. Le monde change. Les Maelstroms pas. Nous seront là. Ensemble. Longtemps si ce n'est toujours...

Journal de bord de Rondin
4eme jour – En route vers Foss rejoindre les Maelstroms
Mercredi 8 decembre

Trop tard !

Pas le temps de passer à Tanaris, pas le temps de poursuivre mes explorations de la faille dans les tarides, pas le temps d'enquêter sur la mort de Cairn,...
Le monde change et il change beaucoup trop vite ! Kalimdor est en effervescence, la rumeur s'est levé accompagné d'une horrible odeur d'elf carbonisé : Aile de Mort aurait pris son envol !
Le slogan orc semble le même que lors de notre départ précipité en Outreterre : Nous ne sommes pas prêt. Seul espoir de rigueur et d'organisation réactive pour affronter ce mal : les guildes hordeuses. Plus souples que les armées de nos capitales, ces groupes d'élites seront amenées à connaittre un destin des plus glorieux sous l'ère du cataclysme.

Le cercle cénarien nous rejoint
Toutes mes forces se tournent donc vers ma guilde, les Maelstroms. Frapmou nous a déja donné des nouvelles de Cairn et les Pitons du Tonnerre nous diligente une précieuse recrue en la personne de Mazouth, représentant du cercle Cénarien. Il sera le lien qui manquait à Maelstrom avec les groupuscules druidiques, Frapmou ne pouvant à la fois représenter la branche guerrière des pitons et siéger aux conseils du cercle cénarien. J'espère que Mazouth n'a pas que les guerres contre les silides en Silithius comme référence... Nous auront un grand bleurg de talent et de bravoure sur nos terres natales, et les campagnes en Outreterre et Norfendre ont a tout jamais changé notre sens du combat.

Conseil de guerre à Foss
Enfin, ce soir j'atteindrai Fossoyeuse par le zepelin gobelin (si Thrall le veut). Yarhulf a sonné le rassemblement dans la cité souterraine, la plus à même de résister aux secousses du cataclysme. C'est là que l'aventure commence pour nous. Espérons que notre nouveau druide sera au rendez-vous. Bien des choses changent en ce monde, mais Rondin déteste toujours autant les retards...

Journal de bord de Rondin
5 eme jour – Un naufrage épique
Mercredi 8 decembre

Un bateau sous l'eau
Saleté de construction gobeline à deux balles ! L'armée d'Ogrimmar a fait plus de 10 milles nautiques pour finir krakenisé en plein milieu de nulle part ! Et bonjour le relachement des grunts : n'ayant pas suivi l'entrainement commando des Kaluaks en Norfendre les recrues kalimdorienne ont coulées comme des enclumes... en lachant équipement et paquetage au fond de l'océan.
Heureusement avec Khorgal et Mazouth nous avons pu rejoindre notre chef de trouppe Yarhulf et après un repérage du terrain nous lancer dans une aventure soumarine.



Gachons notre talent
Pour l'instant notre action est sans gloire : ramasser des détritus (et une sous classe de détritus: des humains) sous l'eau...
Les autres combattants de la horde ne semble pas très concernés par l'appel de Thrall et la révolution en marche. Quel aveuglement. L'armée Naga nous a permis de récupérer des pièces d'armures étonnement sophistiquées et résistantes, ce qui est un encouragement à notre exploration. Nous avons pu rejoindre une plage pour dormir au sec, mais nous avons une dette envers les druides qui nous ont sauvé de la noyade et nous repartons ce soir les aider avavant de reprendre notre propre route. Un bon tien doit toujours etre rendu, sinon où serait notre honneur ?

Journal de bord de Rondin
gné jour le pfff sè plu
jeudi 9 dec

Enchcore de l'eau
<ivre> BEUAAAAAhipsAAAAAA
Par les couilles de Garrosh f'sait longtemps que.... j'avais.... <glou> pas remis ça. Ca me ... déprchime tout' cte flooAAAAAAAAte.
Chpeux pas pacher ma vie a.... RAMASSER DES P* DE BIGORNEAUX !!!!! Alorch que chviens de BOUTER ARTHAS HORS DE NORchfendre hips.... encor eun couop.... Marre de toute cte floAAAAAAAAAAte, mais pchuuuuut ct'alcool de Varesch cha dechire danch lech prochondeur...
Gnéééé .....RAAAAA encore coinché une burne danch un de ces PPPP* de coquilache...
BEUAAAAZZZzzzzz

Journal de bord de Rondin
8eme jour – Comme un chilien
Dimanche 13 decembre

L'appel du mineur
Réveil la gueule enfarinée, sacré cuite, ces bigorneaux ont de la ressource y'a pas à dire. A coté de moi Yar fume un coquillage et me regarde en murmurant "je t'aimmeeee maaan"... il est assis sur la boulle de laine naturelle qu'est Mazouth endormi et qui a encore tout son vomi de collé sur les poils.
Ouah qu'est ce qu'on s'est mis hier !!!

Forgeron tu seras mon fils !
En attendant que mes camarades récupèrent je pars rencontrer nos nouveaux maitres de métier. La cuisine n'est guère enthousiasmante et cette technique de pêche à la mouche est assez rébarbative. Par contre mon mini détecteur gob de minerais fait des merveilles et à la fin de la journée j'ai récolté suffisament d'Obsidienne pour me forger ma propre hache semi-épique rasoir-naine.
Le forgeron que je suis est en pleine transe orquesque ! Je croise Fairness dans les profondeurs. Il prépare des gemmes pour la guilde, ce brave moine. Je dispose les caillous que j'ai extrait des flancs du Kraken à son attention dans notre coffre de guilde. Je vais peut être forger une hache à 2 mains pour Khorgal si j'arrive à trouver assez de minerais dans mes prochaines sorties avec notre équipe... Demain nous nous concentrerons sur ce qui se trame INSIDE the kraken !

Journal de bord de Rondin
9eme jour – Naga contre Kvaldir
Lundi 14 decembre

Fuite du Craquant !
Retour dans le craquant, et pas de Yarhulf... Avec Mazouth nous errons autour de la bête en soulevant chaque coquillage pour retrouver le corps de notre elf, et néanmoins presque ami, en tout cas connaissance, en tout cas il est dans la guilde, ...



Des armes pour les braves
A défaut Rondin extrait assez de métal des flancs du craquant pour préparer la forge d'une hallebarde pour Khorgal et d'armure tank pour Frapmou (il n'est pas exclu de faire les instances à 2 tanks !) Mazouth stocke les feux élémentaires, Rondin les terres, et l'ensemble est porté à dos d'hyppocampe dans une cache de la caverne. Il faudra travailler dur pour fondre tout ce métal et l'assembler aux éléments primordiaux.

Pris aux piège
La libération du craquant nous amène à rejoindre les dernières forces isolés Grunt prises au piège des salles souterraines. Aux cotés de Mazouth une trépidante course contre la montre se met en place, et après des heures de combats acharnés pour en apprendre plus sur les guerres indigènes entre Nagas et Kvaldir dans ces lieux qui nous sont étrangers, nous rassemblons une partie des trouppes dans la même salle. Le capitaine orc est mort, plusieurs postes de secours sont submergés, la horde est désorganisée par l'absence d'officiers... il nous faut remonter tout ce monde à la surface avec l'aide des technologies gobelines...Maelstrom doit prendre ses responsabilités !




Conseil de la compagnie Maelstromienne
Khorgal et Frapmou sont sur nos traces, nous tenons conseil autour d'un feu improvisé et nous scindons notre action. rondin et Mazouth partiront devant pour convoyer un premier groupe de grunt à la surface et prévenir les bateaux de secours. Kor et Frap retournent dans les jardins soumarins pour rassembler d'autres orcs laisser dans nos pas. Yunko arrive également mais nous ne trouvons aucune utilité à ces trop limités talents elfiques, alors on le charge d'amuser les trouppes par sa seule présence...



Préparation de retour à la surface
Avec Mazouth nous dressons notre camp près du gobelin nous ayant amené sur une pieuvre mécanique géante dans la caverne. Nos prochaines missions : aider au ramassage des éléments techniques gobelins et prévoir le retour aux bateaux !

Journal de bord de Rondin
10eme jour – We are ONE... face à face avec Neptunon
Mercredi 15 decembre


Trouppe de choc
Hier les Maelstroms ont brillés et fait honneur à leur réputation… Toute la nuit le commando RondZouth a traversé les plaines aquatiques de Vashjir en massacrant sans pitié nains, elfs et gnomes sans jamais reculer devant la force de l’adversaire ! L’alliance n’ose même plus tenter de rentrer en contact avec les craquants. Nous avons libéré un second spécimen de ces créatures fascinantes du joug des mages ogres au service des démons asservis par les Nagas. Nous y avons découvert l’existence des symbiotes, capables de manger l’esprit de leur hôte, arme terrible et dégénéré… Ces combats pour la domination hordesque nous ont amené au plus profond du royaume de Neptunon, participant à la charge héroïque depuis le sous-marin de Verni le gobelin vers les cohortes Nagas.


La charge folle
Le légionnaire Nazgrim a pu compter sur le soutien d’un orc durotien, alors que le chaman du cercle terrestre Neruka accueillait avec honneur l’arrivée de Mazouth qui a traversé bien des périls pour le rejoindre. Tous ensembles nous avons fait front et à l’issu du combat nous avons pu investir le dernier retranchement de la reine Naga, réfugiée dans les profondeurs du royaume aquatique de Neptunon, avec l’espoir de libérer Neruka de son symbiote.


Seuls faces à Neptunon
Tout deux fièrement dressés devant le portail, Rondin et Mazouth n’ont pas reculés. Et avec un bouclier solide comme bras gauche, une griffe puissante et acérée comme bras droit, un tourbillon vert sur le cœur, notre commando a fait ce que nul en Nerzhul n’a même tenté. Nous avons investi le royaume de Neptunon à deux. Notre progressions fut glorieuse et impitoyable, et après d’apres combats très tactiques nous nous sommes ouvert le chemin jusqu’au 1er maitre des lieux. Avec le secours de Yarhulf c’est à 3 que nous avons tombé la reine Naga, puis le commandant des sans esprits et enfin libéré Neruka. Les 1ers objets Vashjir que notre grouppe gagne à la sueur de leur membres... Seul Neptunon se dresse désormais devant nous, et ce combat nous ne pouvons le gagner seul. Rondin entretient le feu devant la porte. Nos armes sont prêtes. Khorgal et Frapmou seront bientôt de retour et alors telle une fratrie héroique nous viendront à bout de ces lieux maudits. Le mont Hyjal nous appelle…

Journal de bord de Rondin
11eme jour – Les cavernes de Rochenoire
Lundi 20 decembre

Neptulon rouvre les mers
Khorgal sort péniblement du tunnel sous les eaux au matin et se hisse vers notre feu… Après une brochette d’anguille revigorante cuisinée par Mazouth et un séchage approprié je lui remets « Trancheuse » la première épée lourde que je forge à cette profondeur. Nous retrouvons ainsi un de nos plus forts guerriers pour investir les lieux ! Frapmou est quant à lui resté derrière pour construire un rempart à base de bigorneaux, dont les propriétés gluantes en font un ciment naturel performant. Le temps presse de note coté car le Symbiote géant immobilise Neptulon et le rend fou. A 4 nous nous enfonçons à nouveau dans le royaume aquatique. A l’issu d’un combat incertain où le paillasson elfique Lysandar est venu nous soutenir psychologiquement, nous buvons à la source du pouvoir de Neptulon pour nous transformer en géants et arracher le symbiote de sa demeure aquatique.

De nouveaux aurevoirs
Notre équipe en a fini de sa mission en Vashjir… ce naufrage initial nous aura amené bien loin dans l’inconnu, il est plus que temps de repartir sur la terre ferme à la quête de Thrall ! Mazouth a le sens du devoir et c’est la mort dans l’âme qu’il laisse une jeune druide devant la porte de l’eau. Khorgal reste en sentinelle avec Frapmou et attend des nouvelles de l’autre front.

Course vers le Mont Hyjal
Fin de voyage trépidante jusqu’à Ogrimmar après avoir hélé un bateau orc au large(le phrygien). Le cercle nous félicite chaleureusement et nous envoi à la rencontre de Thrall au Mont Hyjal. Mais la mort et la désolation nous on précédé et Aile de Mort a incinéré la quasi-totalité de la région. L’arbre de vie est en grand péril et Mazouth nous porte naturellement volontaire pour endiguer la vague des assauts du marteau, ces traitres à la cause druide. Les gobelins sotn de la parti et par erreur nous empruntons une voie souterraine vers les cavernes de Rochenoire.

Prisonniers sous terre
Cette zone est hautement dangereuse et nous ne sommes plus que trois, mais après avoir voté il nous semble inconcevable de reculer devant l’ogre qui nous barre la route… Rochenoire reste la terre des exploits orc contre nain et nous franchissons valeureusement la porte du feu à la poursuite du monstre nommé RAZ. A trois nous semons la mort dans les corridors de pierre, à la lueur des torches. Après avoir fait choir nos 3 premiers adversaires nous sommes rejoins par Hika la prudente et Anoskar le transparent. La caverne ne tarde pas à retentir de nos exploits et c’est recouvert de sang noir que nous retournons au Mont Hyjal au plus vite. L’arbre de vie nous bleurg !